La suite qui n'en était pas une
Vous rappelez vous de ma critique de « La Malédiction d'Old Haven »?
Eh bien, je pourrais la reprendre intégralement ici, en changeant quelques détails à propos du « Maître des dragons », de Fabrice Colin. Pourquoi? Eh bien, parce qu'il s'agit en quelque sorte du prolongement de « La Malédiction d'Old Haven ». Je dis bien prolongement et non suite. Pourquoi?
Simplement parce que Colin reprend exactement la même histoire, mais choisit cette fois-ci de la raconter du point de vue de Thomas Goodwill, le pirate au grand coeur qui est intimement mêlé au destin de Marie Wickford.
Concept très intéressant que celui de la reprise d'un récit avec un autre point de vue. Et Colin le maîtrise avec brio, enrichissant ainsi le récit déjà luxuriant qu'il nous avait déjà présenté.
Les deux récits peuvent se lire indépendamment, et dans n'importe quel ordre. Mais ils en valent tous deux la peine!
Un autre 4.5 signets sur 5!